Light Jigging
LE LIGHT JIGGING (tai jig, madai, inchuku, leurre souple, poisson mort manié...)
Technique récente, d'origine japonaise, elle est l'adaptation logique du jigging pour les poissons de fond. Le terme "light jigging" regroupe toutes les pêches légères à soutenir. C' est une pêche verticale.
Les cannes de Light Jigging sont plus longues et plus souples que les cannes de jigging, les moulinets sont en général plus petits et moins puissants, et sont garnis de tresse. Certains moulinets à tambour tourant dédiés spécialement au Light jigging peuvent être utilisés. Le jig est remplacé par un petit leurre s'apparentant le plus souvent à un céphalopôde, souvent appelé tai jig. Mais il existe un grand nombre de petits leurres regroupés sous l'appellation Tai jig, à savoir les Inchuku, les Madai jig, les shads... La technique de pêche consiste à laisser descendre ce leurre jusqu'au fond et à l'animer lentement près du fond. Une variante consiste à utiliser un poisson mort comme leurre (poisson mort manié). Toutes les espèces benthiques peuvent y être réceptives, comme le denti et le pagre, la vive, mais aussi la rascasse, le chapon, le pageot, le sar, le serran ou les céphalopodes. Ce qui n'exclue pas pour autant les spécimens de belle taille...
Cette technique peut se pratiquer toute l' année.
Les cannes de Light Jigging sont plus longues et plus souples que les cannes de jigging, les moulinets sont en général plus petits et moins puissants, et sont garnis de tresse. Certains moulinets à tambour tourant dédiés spécialement au Light jigging peuvent être utilisés. Le jig est remplacé par un petit leurre s'apparentant le plus souvent à un céphalopôde, souvent appelé tai jig. Mais il existe un grand nombre de petits leurres regroupés sous l'appellation Tai jig, à savoir les Inchuku, les Madai jig, les shads... La technique de pêche consiste à laisser descendre ce leurre jusqu'au fond et à l'animer lentement près du fond. Une variante consiste à utiliser un poisson mort comme leurre (poisson mort manié). Toutes les espèces benthiques peuvent y être réceptives, comme le denti et le pagre, la vive, mais aussi la rascasse, le chapon, le pageot, le sar, le serran ou les céphalopodes. Ce qui n'exclue pas pour autant les spécimens de belle taille...
Cette technique peut se pratiquer toute l' année.